C’est une histoire qui fait frémir : la répression brutale de la BRAV-M lors d’un entretien moto a déclenché des scènes de violence inouïes, avec des manifestants insultés et des policiers identifiés. Deux plaintes ont été déposées pour faire toute la lumière sur cette triste affaire qui met en lumière les dérives policières dans notre pays. Dans ce billet, nous allons revenir sur les faits marquants de cet événement choquant et chercher à comprendre comment cela a pu se produire. Prêt(e) à plonger dans le cœur d’une enquête captivante ? Alors suivez-nous !
BRAV-M, un mouvement de motards qui lutte pour la défense des usagers de la route, a été réprimé lors d’une manifestation le samedi 8 juin 2019. Des policiers ont insulté les manifestants et ont été identifiés grâce aux vidéos des participants. Deux plaintes ont été déposées.
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Des policiers identifiés et deux plaintes déposées : les faits reprochés aux forces de l’ordre lors de la dernière manif contre la réforme des retraites sont graves. Selon les témoins, ils auraient notamment utilisé des gaz lacrymogènes à proximité d’un établissement scolaire et auraient insulté des manifestants.
Manifestation de colère à la gendarmerie de Bayonne
Plusieurs dizaines de personnes ont manifesté ce lundi soir devant la gendarmerie de Bayonne, pour dénoncer les violences policières survenues lors d’une opération de contrôle de la Brigade anti-criminalité (BAC) de la ville le vendredi 27 mars. Les manifestants ont été insultés par les policiers, et deux plaintes ont été déposées.
Cette manifestation était organisée par les collectifs Basques contre les expulsions et Gros bras bas du Pays Basque. Elle a rassemblé une quarantaine de personnes, dont plusieurs jeunes. « Nous sommes là pour dénoncer les violences policières, notamment celles subies par les jeunes du quartier St-Esprit », a expliqué un membre du collectif Gros bras bas.
Les manifestants ont scandé des slogans tels que » Police partout, justice nulle part » ou encore » A bas la BAC « . Ils ont ensuite déposé un bouquet devant le commissariat, en hommage aux victimes des violences polici
Des policiers ont été identifiés et deux plaintes ont été déposées suite à l’intervention violente de la police lors d’une manifestation contre la BRAV-M, une nouvelle taxe sur les motos. Les manifestants ont été insultés par la police et plusieurs d’entre eux ont été blessés.
Le 4 octobre 2020, une soixantaine de personnes ont participé à une manifestation non-autorisée contre la loi sécurité globale à Paris. La police a réprimé violemment cette manifestation, faisant plusieurs blessés et arrêtant au moins 24 personnes. Les manifestants ont été insultés et traités de « racailles » par les policiers. Deux plaintes ont été déposées pour brutalité policière.
Le 4 octobre 2020, une manifestation a été organisée à Paris pour dénoncer la répression policière. Cette dernière est notamment représentée par la Brigade de répression des atteintes aux personnes (BRAV-M), créée en 2019.
Le rassemblement a été perturbé par les forces de l’ordre, qui ont insulté et matraqué certains manifestants. Des policiers ont également été identifiés grâce à des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
Deux plaintes ont été déposées à ce jour, l’une par un manifestant et l’autre par un journaliste présent sur place.
Le 18 septembre 2020, les motards de la BRAV-M (Brigade de répression des atteintes aux véhicules motorisés) ont été pris à partie par des manifestants lors d’une opération de contrôle à Paris. Selon les témoins, les policiers ont été insultés et agressés physiquement. Deux plaintes ont été déposées et plusieurs policiers ont été identifiés.
La BRAV-M et les manifestants étaient à juste titre révoltés par le comportement des policiers lors de l’entretien moto. L’utilisation excessive de la force et les insultes ont été documentées, ce qui a entraîné des plaintes déposées contre certains policiers identifiés. Nous espérons que cette affaire sera traitée dans un esprit justice et que tous les responsables seront punis en conséquence.